Raccompagne Emiko.

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Karot avait suivit Emiko jusqu'à l'infirmerie car comme il était nouveau, il ne connaissait pas les batiments et ne savaient pas par ou il devait se diriger pour arriver à l'infirmerie, quand ils arrivèrent devant la porte, Emiko ouvrit la porte avec sa clé puis elle rentra, Karot entra à sa suite puis il lui dit :

"L'infirmerie est plutot acceuillante. Tu as du travail je suppose ? Tu veux que je t'aide ?"

Karot lui sourit tout en regardant toute l'infirmerie de fond en comble, après tout il viendrait souvent ici maintenant puisqu'il passerait souvent rendre visite à Emiko, il attendit un peu avant de s'approcher du bureau d'Emiko et de regarder tous les dossiers qu'ils y avaient dessus, il se retourna ensuite et la regarda attendant sa reponse.

Durant la promenade dans les couloirs, la jeune femme avait peu à peu perdu sa gêne et, lorsque ses clées cliquetèrent dans la serrure de l'infirmerie, Emiko se sentait bien. Poussant la porte, la jeune infirmière entra et regarda, avec un petit sourire, l'adolescent découvrir son petit univers. La jeune femme s'approcha de lui alors qu'il était prés de son bureau et posa sa tête sur son épaule, avec tendresse :

-Hum... Je l'ai décorée moi-même... Les vieilles pies qui me servent de collègue ont un peu gueulé quand j'ai commencé à mettre des plantes...

Elle sourit, se souvenant de la tête de ses supérieurs, puis son regard vint sur le visage de Karot. Et aujourd'hui, à cause du jeune garçon, elle choisissait de faire la mauvaise élève. Emiko ne travaillerait pas.

-Si mais je préfère parler ou m'occuper de toi. C'est moins ennuyeux que ces foutus dossiers.

Emiko sourit puis, approchant timidement ses lèvres, elle déponsa un bisou sur la joue à Karot. Et elle finit par s'écarter d'une pas vif en éclatant de rire. Emiko était heureuse.

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Karot sourit quand elle lui dit qu'elle preferait parler avec lui, puis quand elle lui posa un bisous sur la joue, il éclata aussi de rire et s'approcha d'Emiko pour l'embrasser dans le cou et lui dire :

"Je t'aime Emiko. Et je t'aimerai toujours."

Puis il se recula et s'asseya sur une des chaises qu'avaient elle meme installés Emiko puis il dit tout en regardant une seconde fois la déco de l'infirmerie :

"Tu as vraiment bon gout en tout cas."

Puis il l'invita à venir s'asseoir sur ses genoux tout en lui souriant et en la regardant, plus il la regardait plus il la trouvait magnifique et plus il tombait amoureux d'elle, enfaite c'était déja fait mais il était de plus en plus amoureux quand il la regardait et surtout quand elle lui souriait il avait l'impression d'etre sur un petit nuage et il se perdait dans des petites reveries jusqu'a ce qu'il lui demande :

"Tu penses qu'il faut garder notre relation secrète pour l'instant ?"

Emiko rougit un peu lorsqu'il lui dit qu'il aimait. Cela lui faisait tellement plaisir. Son coeur battait fort, elle croyait qu'il allait exploser à chaque fois que ses mains la touchaient ou que ses lèvres effleurer sa peau. Elle ne put s'empêcher de frissoner en sentant les douces lèvres du jeune garçon sur son cou. La jeune femme lui répondit alors, au creux de l'oreille :

-Je n'ai jamais aimé avant... Mais je crois que s'est de l'amour que j'éprouve pour toi... Karot...

Elle regarda s'assoir ensuite sur une chaise. Pas vraiment spéciale mais mieux que celle qu'il y avait avant dans l'infirmerie, il se trouvait sur une chaise qu'elle avait elle-même amenée. Lorsqu'il la complimenta, un petit Merci s'échappa de ses lèvres et elle ne tarda pas à s'assoir sur les genoux du garçon avant de se blottir dans ses bras. Et, alors qu'elle posa sa tête sur son épaule, Karot lui demanda si leur relation devait être caché aux yeux des autres. Oh... Bien sûr qu'elle avait envie de le montrer aux monde, de pouvoir lui prendre la main ou encore l'embrasser là où elle le voulait et quand elle le voulait. Mais ils étaient à l'internat. Il était un élève et elle, une adulte. Elle dû donc dire, avec une moue triste :

-Je crois que oui... Mais tu viendras chez moi quand tu seras en vacance... J'habite avec mes frères et leurs familles, nous avons une immense famille, je suis sûre qu'elle te plaira.

La jeune femme avait vraiment envie de passé du temps avec Karot même si cela était risqué entre ses murs. Et puis cette infirmerie lui servirait enfin à quelque chose d'autre que de soigner. Emiko en avait les clées et pouvait fermé la salle. Assez bien quand on veut voir quelqu'un...

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Karot fit aussi une moue triste quand elle lui dit qu'ils devaient cacher leur relations, mais reprit son sourire quand elle lui dit qu'il viendrait chez elle pendant les vacances, après tout les vacances étaient plutot longue et etre chez elle serait beaucoup plus interessant qu'etre à l'internat, et malgrés que sa famille soit grande, ils seraient quand meme plus intimes chez elle qu'à l'internat. Il lui sourit tout en la prenant dans ses bras et en lui faisant des bisous sur le cou, puis il la chatouilla pour rire après il lui dit :

"Et tu habites loin d'ici ? De toute façon peut importe où tu habites je t'accompagnerai mon amour."

Il lui sourit encore et il se demanda comment l'atmosphère pouvait etre si magique, c'était la première qu'il ressentait ça de cette façon et il savait que la cause c'était l'amour bien sur, mais il ne pensait pas que cela procurait un sentiment de bien etre aussi grand.

Un sourire tendre se dessina sur ses lèvres lorsqu'Emiko remarqua la moue triste du jeune homme. La jeune femme se demandait comment il pouvait être aussi mignon... Et surtout comment pouvait-elle être tombée si rapidement amoureuse d'un jeune homme dont elle ne connaissait si peu de chose. Elle avait beau le regarder dans son beau kimono, Emiko craquait pour sa beauté et aimait se lover dans l'assurance et la tranquilité que Karot émanait. Finalement, il lui demanda où elle habitait. Emiko dit alors simplement :

-Dans un immense manoir, à quelques quartiers d'ici. Il me suffit de prendre un bus pour être ici en un quart d'heure. J'ai hâte que tu viennes y passé les vacances, il est vrai que je trouve ma chambre trop grande pour moi. Hum... Au fait, quel âge as tu ?

Puis Karot commença à lui faire des bisoux, descendant dans son cou et la chatouillant après. Emiko ne put s'empêcher de rire et de serrer un peu plus l'étreinte. Mais cela ne suffit pas. La jeune femme décida de l'embêter un peu. Comme si elle allait se laisser faire sans rien dire... Non mais... Se levant rapidement de la chaise, la jeune femme attrapa la main de Karot et le poussa vers le mur. Bloquant le jeune homme contre le mur, elle sourit et, tandis que ses lèvres embrassaient tendrement son cou et que sa langue faisait conaissance avec la douce peau du jeune homme, commença à taquiner Karot.

-Alors ?

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Karot sourit quand elle le poussa contre le mur et éprouva une immense sensation de plaisir quand la langue d'Emiko toucha son coup pendant qu'elle lui faisait un bisou dans le cou, quand elle lui demanda son age il repondit avec un sourire :

"J'ai 16 ans et toi quel age as tu ?"

Il la regarda encore une fois puis comme elle l'avait plaqué contre le mur, l'entraina vers lui et l'embrassa avec la langue cette fois, ce baiser fut vraiment passionné et Karot éprouvait encore plus de plaisir que quand Emiko l'avait plaqué contre le mur, il se demandait à quoi ressemblait toute la famille d'Emiko, il était pressé de rencontrer ses frères, ils devaient etre à peu près de son age ou un peu plus petit mais il pourrait tout de meme s'amuser avec eux, il fallait se lier avec toute la famille après tout.

Karot révela donc son âge sans gêne. 16 ans. Emiko afficha une moue un triste. Maintenant, elle faisait trop vieille même si le jeune Karot était plus grand qu'elle. Elle répondit donc avec petite voix :

-J'ai... 25 ans >.<...

Mais pourtant, même si il était plus jeune. Karot lui avait fait découvrir l'amour et commençait à lui faire entrapercevoir le désir et l'envie. Se laissant aller au baiser passionné, ses bras se levèrent et entourèrent le cou de jeune homme. Finalement, lorsqu'ils s'écartèrent, la jeune femme se posa une question. En parlant de famille, est-ce que ses frères l'accepteraient ? Que diraient-ils sur l'âge de Karot ? Mais en y reflechissant, d'un certain côté, elle savait qu'il le laisserait tranquille. Il était celui qu'elle aimait et même si ils pouvaient se montraient énervant, ils aimaient leur soeur. Fin bref, alors qu'elle posa sa tête sur l'épaule du jeune homme, la jeune femme lui demanda :

-Est-ce que tu as envie de faire quelque chose ? je suis ouverte à tout proposition...

Tripotant le tissu du beau kimono du jeune homme, elle attendait patiemment qu'il lui propose quelque chose. En sachant déjà que les activités hors de l'infirmerie n'était même pas à envisagé et qu'est-ce que l'on pouvait faire dans une infirmerie à deux ? La jeune femme ne voyait pas vraiment.

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Karot sourit, ils avaient neuf ans de différence c'était plutot beaucoup mais en amour l'age ne comptait pas après tout, en tout cas il était sur que ses frères avaient à peu près son age et qu'il pourrait devenir ami avec eux sans grandes difficultés etant de la meme génération. Ensuite quand elle lui demanda ce qu'il voulait faire Karot la regarda dans les yeux, elle avait ses bras autour du coup de Karot et lui demanda ce qu'il voulait faire ou plutot ce dont il avait envie, il lui dit alors :

"La seule chose dont j'ai envie c'est toi. Et tu es la seule qui puisse me le donner."

Il passe ses bras autour de sa taille et l'approcha vers lui tout en caressant ses cheveux et en l'embrassant encore une fois dans le cou puis il lui demanda :

"Et toi tu as envie de faire quoi ?"

Emiko croisa le regard de Karot et vit qu'il était bien franc quand il lui dit que la seul chose qui lui faisait envie, s'était elle. Ses joues ne tardèrent pas à viré aux rouges tomates. Savait-il que ses paroles pouvaient avoir un autre sens ? Alors qu'il lui demanda ce qu'elle voulait faire, alors qu'il posa ses mains sur ses hanches et tandis que les mains de Karot passait tranquillement dans ses cheveux, Emiko finit par répondre :

-Oh... Je ne sais pas... J'aimerais te faire plaisir... Mais je ne sais pas... Enfin si mais eu...

Emiko avait vraiment envie de faire quelque chose qui ferait plaisir à Karot, pour le remercier de l'aimer, pour le remercier d'être là, pour être avec elle. Mais était-elle prête ? Emiko s'exclama, tout en cachant son visage dans les plis du kimono de Karot. La jeune fille finit par relever la tête et dire :

-Han... J'ai vraiment l'air d'une gamine...Mais j'ai vraiment envie de te faire plaisir...

Elle le regarda avec sérieux. Emiko ne voulait pas l'inciter à faire quelque chose qu'il ne voulait pas et elle, elle n'aurait jamais cru s'entendre dire ce genre de chose. Mais... mais les sentiments qu'il lui avait fait découvrir lui donné envie de faire cela et elle n'y pouvait rien. C'était une fille après tout.

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Karot sourit tout en la regardant, elle disait qu'elle avait l'air d'une gamine mais ce n'était pas de l'avis de Karot, il la trouvait mature et encore plus belle car il la trouvait maintenant sensuelle, il dit :

"Si tu n'es pas prete, ce n'est pas grave, je peux attendre rien ne presse mon amour.
"

Karot la regarda tout en se disant qu'ils allaient peut etre un peu vite mais il l'aimait tellement qu'il ne pouvait pas réprimer ses sentiments meme en sachant cela, mais cela était le désir d'Emiko, il pourrait attendre encore après tout comme il l'avait dit rien ne pressait. Mais après tout, peut etre qu'elle aussi voulait le faire et qu'elle n'osait tout simplement pas lui demander enfin il le saurait dans quelques secondes.

Emiko le regarda lorsqu'il dit que ce n'était pas grave. Oh... Elle ne voulait pas qu'il dise cela. La jeune femme avait vraiment envie de lui donner du plaisir ! Et elle ne connaissait pas d'autre moyen... Et même si elle savait que s'était peut-être un peu trop rapide, Emiko aimait Karot même si cela ne faisait que deux heures qu'ils se connaissait, même si elle avait un caractère super timide. Emiko se sentait prêter. Mais s'était la première fois que la jeune femme le ferait. Et s'était cela qui lui faisait le plus peur. Emiko s'exclama donc :

-Je... Ce sera ma première fois... Mais... Mais j'ai vraiment envie de te faire du plaisir... Je... je t'aime !

La jeune femme le serra dans ses bras et continua, pour ne pas qu'il voit son visage si genée :

-Je... je ne sais pas comment m'y prendre...

Et s'était vraiment vrai. Même si elle avait entendu ses parents criaient de plaisir de nombreuse fois, qu'elle avait suprit ses frères... Emiko ne s'était jamais vraiment interessé sur le sujet et même si ele avait étudié durant ses études les actes de ce genre, elle ne savait pas comment commencé...

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Karot serra Emiko dans ses bras, c'était alors leurs premières fois à tout les deux, la première fois qu'ils connaissaient l'amour, la première fois qu'ils allaient passer à l'acte alors il lui dit pour la rassurer :

"Ce sera aussi ma première fois, on a qu'à le faire au feeling et sache que quoi qu'il arrive j'éprouverait du plaisir car c'est avec toi que je veux le faire."

Karot lui fit un sourire réconfortant puis il l'embrassa, après tout c'était comme cela que les relations qu'ils allaient avoir commmencer normalement, enfin d'après ce qu'on lui avait dit une fois, quand il s'était arreté durant un voyage à une auberge très fréquentée. Donc il préférait commencer par là et si Emiko voulait ils pourraient commencer.

Emiko préfèra faire confiance au jeune homme et ne se posa pas plus de question sinon elle y serait encore demain. Les paroles de Karot la rendait heureuse et une espèce de sentiment la prit. Etait-ce cela l'envie ? Le désir ? Ne cherchant pas à savoir plus que cela, elle emmena le garçon vers un lit de l'infirmerie et le fit allongeait, tendrement. Elle ferma les rideaux avant d'enlever rapidement ses escarpins et de monter sur le lit. Se trouvant à quatres pattes sur le jeune homme, elle sourit puis se pencha afin de déposer ses lèvres sur celle de Karot. Et pour la première fois, elle mit elle-même la langue. Emiko voulait montrer qu'elle souhaiter donner du plaisir à celui qu'elle aimait. Que les sentiments d'amours, elle en avait elle aussi. Tandis que leurs deux lèvres, après un long et tendre baiser, se separerent, elle dit :

-Je t'aime Karot... Et je veux vraiment le faire avec toi...

Se penchant de nouveau, elle laissa ses lèvres faire conaissance avec la douce peau de Karot. Emiko embrassa son front, ses joues, ses lèvres. Mordillant le lobe de l'oreille du jeune homme, ses mains écartèrent avec envie le beau kimono de Karot. Elle se releva après avoir embrassé avec tendresse le cou du jeune homme. Emiko regarda avec envie le torse et les muscles de Karot. Il n'aurait pas vraiment dû lui montrer...

-Tu veux que je continue ?

Un sourire joueur se dessina sur ses joues. Elle aimait vraiment ce qu'elle faisait, la peau de Karot sous ses mains étaient douce et un peu salée sous ses lèvres...

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Karot se laissa coucher sur le lit d'infirmerie et laissa Emiko lui enlever peu à peu son Kimono, il sentait une excitation de plus en plus grande, il n'aurait pas penser pouvoir atteindre un seuil aussi élevé mais pourtant c'est qu'il se passait. Quand elle lui demanda si il voulait qu'elle continue il lui dit avec un sourire :

"Oui, bien sur."

Karot était pret à la laisser faire ce qu'elle voulait de son corps pour l'instant car après c'est lui qui lui ferait certains trucs qu'il savait plus ou moins à cause de ses nombreux arrets dans les auberges et tavernes enfin les trucs dans ce genre.

Emiko sourit et donna un baiser rapide sur les lèvres du jeune homme. Tout en continuant à embrasser tendrement le cou puis descendant sur le torse qu'elle caressait de ses mains froides, elle pensait un peu. Il y a de cela quelques heures, elle ne se serait jamais cru capable de faire cela mais... Mais l'effet de chaud qui était née de leur premier baisée et qui grandissait de plus en plus à chacun de ses baisers qu'elle lui faisait. Emiko voulait alors savoir ce qu'elle pouvait ressentir si elle cultivait un peu cette chaleur. Et plus ses mains découvraient avec volupté le beau corps de Karot, que ses lèvres goutaient l'innocence du jeune garçon, plus la jeune femme en voulait.

Mais voila qu'un bout de tissu gêna ses découvertes. La ceinture doré du kimono de Karot. Defaisant d'abord complétement le haut, laissant alors à ses yeux les longs bras du garçons. Puis la jeune femme se releva et dénoua avec douceur le noeud de la ceinture. Elle enleva ensuite délicatement le tissu, le faisant tomber à côté du lit et écarta un regard plein d'envie le kimono qui lui laissa voir...

[Je ne sais plus si tu avais gardé ton pantalon... Je te laisse donc inventé ^^"]

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Karot sourit à Emiko tout en l'embrassant à son tour, quand elle dénoua le noeud de son Kimono, il avait encore son pantalon car il ne l'avait pas enlevé au moment où il s'était pour ne pas gener Emiko qui n'était pas encore sa petite amie à ce moment-là, il enleva alors son pantalon avec délicatesse et se retrouva en caleçon, il n'enleva pas directement son caleçon et laissa à Emiko le soin de le faire si elle le voulait, puis il commença à prendre lui-meme l'initiative et commenca à enlever petit à petit le haut d'Emiko avec délicatesse et une envie non dissimulé, il ne savait pas encore ce qu'elle avait en dessous et il allait bientot avoir la surprise et il était sur que quel qu'elle soit elle le ferait devenir encore plus excité, ensuite après avoir complètement enlevé le tee-shirt d'Emiko, il découvrit...

Laissant donc Karot enlevait son pantalon, la jeune femme découvrit avec plaisir les longues jambes de Karot. Et alors qu'elle allait commençait à faire tomber le caleçon du jeune homme, elle sentit ses mains sur son haut. Frissonant, Emiko laissa Karot lui enlevait sa chemise blanche, découvrant un soutien-gorge en dentelle blanche. Rougissant un peu plus, elle le détacha laissant donc Karot voir ses seins.

Embrassant Karot, bien que timide, elle enleva le caleçon du garçon lui laissant voir la virilité de Karot. Emiko ne dit rien, surprise, mais finit par sourire et dit :

-Excuse-moi si je m'y prend mal...

La jeune femme se baissa donc et prit le sexe de Karot dans sa main. Pas vraiment rassuré, elle commença quand même. Embrassant d'abord le sexe, elle le prit finalement en bouche et fit des va-et-vient lent tout en augmentant de plus en plus la vitesse. Au bout de quelques minutes, elle leva les yeux et tendit l'oreille pour voir si ce qu'elle faisait plaiser au jeune homme.

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Karot vit qu'Emiko enleva son Soutien gorge, il se demandait comment elle avait pu devenir aussi peu timide en quelques heures à peine, mais cela satisfaiser totalement Karot, quand elle enleva son Calecon Karot frisonna de plaisir et sourit quand elle s'excusa d'avance pour si elle si prenait mal, il était sur qu'elle lui ferait plaisir et d'ailleurs après qu'elle ait commencer à prendre son sexe dans sa bouche et à faire des va et viens de plus en plus vite, il sentit le plaisir atteindre son paroxysme mais préfera ne pas gemir malgré le plaisir car il y avait peut etre des gens qui passaient dans le couloir puis quand elle le regarda il lui dit pour la rassurer :

"Ne t'inquiètes pas tu le fais très bien. Après c'est moi qui te ferait plaisir."

Enfin ce n'était pas seulement pour la rassurer après tout c'était vrai elle le faisait vraiment atteindre un plaisir fou et elle le faisait très bien, et après il voulait aussi lui faire du bien comme elle lui faisait depuis qu'ils avaient commencé à faire l'amour.

Emiko se demandait en elle-même, aussi, comment Karot avait réussi à la "détimidiser" en à peine quelques heures. Mais là, maintenant, tout de suite, elle n'avait pas vraiment envie de reflechir du pourquoi du comment. Tout ce qu'elle savait, s'était que Karot était une personne devant qui elle voulait quelqu'un de normale et non la femme ayant peur de tout ce qui bouge habituellement.

Lorsqu'il lui parla, sa voix montrait qu'il aimait cela. Emiko était assez fière d'elle, pour une première fois. Au bout de quelques minutes, elle se releva. Ne sachant que faire de plus, la jeune femme finit par se relever, embrassant d'abord le ventre, le torse puis revenant sur les lèvres du jeune homme . Regardant alors Karot avec un grand sourire un peu moqueur , elle le taquina en disant :

-Tu peux faire du bruit, si tu veux. Les murs de l'infirmerie sont insonorisés et la porte est fermée à clée.

Et elle attendit que Karot dise quelque chose.

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Karot regarda Emiko faire, elle arreta au bout de quelques minutes, elle ne le savait peut etre pas mais il était sur le point d'éjaculer, elle l'embrassa et lui dit qu'il pouvait faire du bruit car les murs étaient insonorisés, Karot dit alors :

"D'accord, alors maintenant c'est moi qui vais te faire plaisir alors surtout n'hésite pas à faire du bruit si tu veux."

Karot lui sourit tout en attendant quelques secondes puis il réfléchit à ce qu'il allait faire puis au bout de ce court laps de temps il demanda à Emiko tout en lui souriant comme à son habitude :

"Tu es prete ? Je peux y aller ?"

Il ne savait pas si elle était encore prete pour l'acte lui meme alors il préférait lui demander avant de passer à l'action, après tout pour la première fois cela faisait peut etre beaucoup pour elle, enfin il n'était sur de rien il préférait attendre la reponse d'Emiko.

Emiko rougit comme une tomate lorsqu'il lui dit que s'était son tour. Serrant un peu le tissu de sa jupe, elle avait un peu honte quand même. C'était un peu plus gênant que de faire plaisir à Karot. Et il lui demanda si elle voulait bien. Mais rien qu'en sentant la chaleur qui montait de plus en elle, Emiko ne reflechit plus et dit :

-Et bien... Je te laisse faire...

La jeune femme donna un coup de anche, s'allongeant à son tour, elle amena Karot au-dessus d'elle. Mettant ses bras autour du cou de Karot, elle l'embrassa et le regarda avec plaisir. Il était si mignon, si innocent mais est-ce que cela ne le gênait pas que ce soit elle qui lui prenne sa virginité ? Bon ok, s'était sa première fois aussi mais comme d'habitude, elle pensait plus à Karot qu'à elle. Se levant un peu, Emiko murmura à l'oreille de Karot :

-Je t'aime...

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Karot s'allongea sur Emiko puis il sourit quand elle lui dit qu'elle l'aimait il lui dit :

"Je t'aime aussi mon amour, bon j'y vais."

Karot commenca alors à enlever petit à petit la jupe d'Emiko, il se demandait ce qu'elle avait en sous vetements en bas, il allait bientot le découvrir il était de plus en plus excité et il enlevait la jupe d'Emiko très lentement pour qu'elle ne soit pas trop gené après tout elle pensait surement la meme chose pour lui mais cela ne la dérangeait elle pas que ce soit lui qui lui prenne sa virginité ? Après tout c'était plutot important pour une fille de perdre sa virginité beaucoup plus que pour un garcon mais il comptait sur elle pour qu'elle lui dise si cela la dérangeait, il finit enfin d'enlever la jupe d'Emiko et il découvrit...

Emiko frissonna lorsque sa jupe frolait sa peau. Il avait les mains douces, elle pouvait les sentir lorsque le jeune homme touchait ses longues et fines jambes. Et tout cela ne lui donnait envie que de passait à autre chose. La lenteur qu'il prenait pour enlever la jupe montrait bien son envie de lui montrer qu'il ne voulait pas la gêner, pas lui faire peur de ce qui se passerait ensuite. Mais malgré le fait qu'elle ai peur de montrer son intimité et de perdre son intimité, Emiko était vraiment contente des tournures de l'évenement. Rare était les personnes qui pouvait la mettre dans un tel étât.

Donc Emiko laissait son corps à Karot. Il pouvait faire ce qu'il voulait, sans trop pousser les limites. Elle leva donc les bras et commença à découvrir le corps de son petit ami avec ses mains. La jeune femme s'exclama :

-Tu sais Karot... J'ai été longtemps timide mais... Tu es la seule personne avec qui j'ai eu envie de faire ce que nous nous apprêtons à faire... Alors je ne m'inquiète pas mais toi... Par une femme si vieille et si timide que moi ?

Emiko avait dit cela pour mettre au point ses pensées. Elle voulait faire l'amour pour la première fois avec les idées claires et être vraiment sur que Karot était d'accord.

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Karot sourit à Emiko, il la trouvait vraiment magnifique et sexy en tout point quand elle lui dit qu'elle voulait le faire avec lui mais si cela ne le genait pas et si il voulait toujours malgrés le fait qu'ils avaient 9 ans de différence, elle employa meme le mot vieille Karot lui repondit :

"Tu n'es pas vieille et c'est avec toi que je veux et tu es la seule que j'aime et je t'aimerai toujours mon amour, alors si tu veux qu'on le fasse nous le ferons d'accord mon ange ?
L'age ne compte pas tant que l'on s'aime vraiment."

Il lui sourit et attendit qu'elle lui ait repondu pour savoir si elle était rassurée pour pouvoir commencer ce qu'ils s'appretaient à faire.

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